Une sortie à Chauvigny est prévue ce dimanche, distances entre 12 à 20 km en fonction des participants. Les sentiers devraient être accessibles aux vélos!! RV 9h15 kiosque Chauvigny.
Sinon sortie heure habituelle à Saint julien
Une sortie à Chauvigny est prévue ce dimanche, distances entre 12 à 20 km en fonction des participants. Les sentiers devraient être accessibles aux vélos!! RV 9h15 kiosque Chauvigny.
Sinon sortie heure habituelle à Saint julien
Malgré cette fin d’année difficile pour les run’ars avec le départ de notre président, je vous souhaite à tous de très bonnes fêtes de fin d’année entourée de vos proches.
Profitez bien et surtout prenez soin de vous.
Joyeux Noël
François Chavant Co-président.
En L’honneur de Bruno,
nous vous proposons une sortie sur St Julien l’Ars (par groupe de 6, en respectant les règles sanitaires en vigueur).
Découverte du nouveau parcours des foulées que Bruno nous avait concocté, 12 et 17km au choix. RDV au parking de l’école pour un départ à 9h15.
A la suite de cette sortie, pour ceux qui le désirent, chacun est invité à préparer son propre ravito gourmand, comme Bruno les affectionnait tant (fromages, TUC, saucissons, fruits secs, gâteaux, œufs durs mais encore… bières locales, vins, vins chauds, bernache).
A dimanche
A partir de demain, nous sommes déconfinés.
La pratique sportive peut reprendre par groupe de 6 personnes maximum…
Pour cette semaine, il est proposée des sorties de 45’-1h max pour respecter le couvre-feu mardi et jeudi à 18h30 parking de l’école…
J’aurai aimé ne jamais avoir à écrire ce message… Pour ceux qui ne sont pas au courant, Bruno nous a quittés brutalement ce matin.
Je suis, comme toutes les autres personnes déjà au courant, sous le choc. Sa femme tenait à ce que tous les run’ars soient prévenus de son décès.
Que dire ce soir ? Que nous avons perdu le premier des run’ars, toujours prêt à accueillir les nouveaux, nous accompagner, nous conseiller à chaque entraînement, chaque course…
A côté de l’aspect purement sportif, il était également le pilier de l’association notamment pour l’organisation de nos Foulées.
Il est difficile d’écrire d’avantage maintenant car je suis sous le choc et tellement tellement triste comme nous tous, mais je pense que chacun d’entre nous a des dizaines de souvenirs avec lui. Je retiendrai ce soir son empathie et sa bienveillance à notre égard à tous.
On pense à toi Bruno et tu vas tellement nous manquer…
Selon une analyse portant sur près de 2,4 millions de marathons individuels, les femmes maintiennent un rythme plus régulier que les hommes, et se fatiguent moins dans la seconde moitié du parcours.
Les femmes seraient-elles plus endurantes que les hommes ? Si les records de vitesse sont masculins, des femmes peuvent se hisser à la première place de courses longues, voire très longues. Ce fut, par exemple, le cas lors de la première édition des 86 km de l’Ultra-Trail du Mont-Blanc Courmayeur-Champex-Chamonix (UTMB CCC), en 2006, remportée par la Française Corinne Favre. L’ultra-traileuse et championne de ski-alpinisme, 35 ans à l’époque, avait laissé le premier homme à 18 min.
En 2019, la Britannique Jasmin Paris a, elle, été la première femme à gagner la Montane Spine Race, un ultra-marathon de 268 miles (431 km) dans les Pennines, cette chaîne montagneuse considérée comme la « colonne vertébrale de l’Angleterre ». « Ce qui a rendu la performance encore plus extraordinaire, c’est qu’elle a battu le record du parcours de douze heures, tout en tirant son lait pour son bébé dans les stations de secours le long de la course », souligne The Guardian.
Au-delà de ces exploits individuels, la question des différences physiologiques entre les sexes dans les épreuves d’endurance est devenue une vraie thématique de recherche. Derniers résultats en date, une analyse portant sur près de 2,4 millions de marathons individuels conclut que les femmes maintiennent un rythme plus régulier que les hommes, et qu’elles s’épuisent moins dans la deuxième moitié des 42,195 km du parcours. Le calcul a été fait à partir des données de course des participants à six grands marathons, de 2009 à 2019.
La grande majorité des marathoniens courent plus vite pendant la première moitié de l’épreuve. Mais l’écart de rythme entre les deux parties de la course est plus modeste chez les femmes (11,49 %) que chez les hommes (14,07 %), soit 18,33 % d’écart entre les sexes, souligne l’analyse, récemment publiée sur Runrepeat, un site collaboratif consacré aux chaussures de sport et à des articles concoctés à partir de bases de données.
Ces conclusions n’étonnent pas Guillaume Millet, professeur de physiologie de l’exercice à l’université de Saint-Etienne. « Toutes les études ou presque sont concordantes : sur marathon, mais aussi sur des distances plus courtes de 5 ou 10 km, les femmes ont une moindre baisse de vitesse au fil de la course. En marathon, c’est vrai même à haut niveau », précise le scientifique et ultra-trailer.
Depuis 2009, avec son équipe, il a mené plusieurs recherches chez des participants à l’Ultra-Trail du Mont-Blanc (UTMB), mythique course de 171 km avec 10 000 mètres de dénivelé positif, entre la France, la Suisse et l’Italie. Il a ainsi été montré que, après un ultra-trail, la fatigue musculaire est moins marquée chez les femmes. Sont-elles plus résistantes à l’effort que les hommes, ou gèrent-elles mieux leur course ?
Selon le physiologiste de l’exercice, qui devrait bientôt publier de nouvelles données sur le sujet, issues d’une étude menée sur l’UTMB en 2019, il existe des différences entre les sexes dans la façon d’appréhender l’épreuve.
« Les hommes ont tendance à être davantage en mode compétition que les femmes. Elles courent davantage dans un état d’esprit de plaisir, du moins sur les petites distances, ce qui pourrait expliquer leur moindre niveau de fatigue à l’arrivée. Cela semble moins vrai pour des épreuves d’ultra », détaille Guillaume Millet.
Malgré ces atouts, les femmes ont deux désavantages physiologiques qui expliquent qu’elles ont globalement du mal à battre les hommes sur les épreuves d’endurance. Leur capacité à transporter l’oxygène dans le sang est plus faible et leur proportion de masse grasse plus élevée, « un handicap en course, un peu moins à vélo, pas du tout en natation », précise Guillaume Millet. Il observe cependant que les femmes peuvent davantage utiliser leurs réserves lipidiques à l’effort que les hommes, ce qui leur permet d’économiser des glucides. « C’est un autre atout sur les courses d’endurance », conclut-il.
Dimanche matin, le temps est idéal pour tous ceux qui aiment courir sous la pluie et le vent. Malheureusement je ne serai pas présent, victime d’une petite entorse.
C’est l’occasion pour un Run’ars de proposer un parcours, ou de faire un départ de St Julien à 9h15. Qui sera là??
ATTENTION au changement d’heure dimanche. Et rechargez les batteries des lampes frontales / ventrales pour la semaine prochaine.
Extrait du site Internet du Ministère des sports:
Pratique sportive auto-organisée
Le ministère chargé des Sports rappelle que la pratique sportive autonome a toujours été autorisée – et ce sans le masque – dans l’espace public. Dorénavant, elle se poursuit dans le respect des limites de rassemblements de 6 personnes sur l’intégralité du territoire.
Sortie à Buxerolles
Rendez-vous pour le premier groupe au parking du stade de la pépinière pour un départ à 8h45 vers la vallée pour rejoindre le deuxième groupe au parking du cinéma à 9h20 et nous prendrons la direction d’Ensoulesse pour une boucle d’environ 12 km.
Sur les traces de l’urban trail…
Dimanche c’est Poitiers …
2 parcours proposés :
12 km avec un départ à 9h30 Tison (chemin de tison)
18 km avec un départ à 8h55 Tison
A dimanche. 😆