9h15 Saint Julien
ou
9h15 Parking VéloRail Chauvigny pour un aller rive gauche jusqu’à Bonnes et retour par rive droite, un peu de dénivelé sur ce parcours de 17 km, avec possibilité de rallonger pour les plus courageux. Possibilité aussi de raccourcir à 14 si un petit groupe est intéressé.
N’oubliez pas de mettre vos réveil à l’heure, A dimanche, par groupes de 6!!!
Tous les articles par Virginie LAMBOURG
Sortie Run’Ars Dimanche 14 mars
Si le temps nous est clément, nous vous proposons une sortie autour de Morthemer. Un parcours de 11-12 km (max) et 17-18 pour l’autre. Principalement routes et chemins champêtres (et presque tous en descente ) !!
RV 9h00 à St Ju pour se rendre ensemble au cimétière de Morthemer pour un début de foulées à 9h15.
Sinon RV habituel 9h15 St Julien
A dimanche!
Course nature Le feu au lac à Chatellerault
Vous avez peut-être reçu l’invitation du « Feu au lac » dans votre messagerie. Pour ceux qui ne l’ont pas eu :
L’équipe du Feu au lac de Châtellerault nous propose de participer à une course nature. Les circuits de 8, 16 et 24 km ont été balisés par leur soins et le resteront du samedi 20 février au dimanche 7 mars. Possibilité de participer au classement virtuel en s’inscrivant (gratuitement) sur le site.
Est-ce que des run’ars seraient intéressés par cette course, soit le weekend du 28/02, soit le weekend du 7/03 (dans le respect des règles sanitaires) ?
Patrice
Sortie du dimanche 7 février
On vous propose un parcours de 14 km sur chemins et portion de route (non fréquentée) avec possibilité d’allonger à 16, 19 ou 22 km pour les plus gourmands! Départ 9h15 Maison des Sadébriens à Sèvres-Anxaumont
A dimanche!!
sortie dimanche 27 décembre
Une sortie à Chauvigny est prévue ce dimanche, distances entre 12 à 20 km en fonction des participants. Les sentiers devraient être accessibles aux vélos!! RV 9h15 kiosque Chauvigny.
Sinon sortie heure habituelle à Saint julien
En fin de course, les marathoniennes moins épuisées que les hommes
Selon une analyse portant sur près de 2,4 millions de marathons individuels, les femmes maintiennent un rythme plus régulier que les hommes, et se fatiguent moins dans la seconde moitié du parcours.
Les femmes seraient-elles plus endurantes que les hommes ? Si les records de vitesse sont masculins, des femmes peuvent se hisser à la première place de courses longues, voire très longues. Ce fut, par exemple, le cas lors de la première édition des 86 km de l’Ultra-Trail du Mont-Blanc Courmayeur-Champex-Chamonix (UTMB CCC), en 2006, remportée par la Française Corinne Favre. L’ultra-traileuse et championne de ski-alpinisme, 35 ans à l’époque, avait laissé le premier homme à 18 min.
En 2019, la Britannique Jasmin Paris a, elle, été la première femme à gagner la Montane Spine Race, un ultra-marathon de 268 miles (431 km) dans les Pennines, cette chaîne montagneuse considérée comme la « colonne vertébrale de l’Angleterre ». « Ce qui a rendu la performance encore plus extraordinaire, c’est qu’elle a battu le record du parcours de douze heures, tout en tirant son lait pour son bébé dans les stations de secours le long de la course », souligne The Guardian.
Au-delà de ces exploits individuels, la question des différences physiologiques entre les sexes dans les épreuves d’endurance est devenue une vraie thématique de recherche. Derniers résultats en date, une analyse portant sur près de 2,4 millions de marathons individuels conclut que les femmes maintiennent un rythme plus régulier que les hommes, et qu’elles s’épuisent moins dans la deuxième moitié des 42,195 km du parcours. Le calcul a été fait à partir des données de course des participants à six grands marathons, de 2009 à 2019.
Mode compétition versus quête de plaisir
La grande majorité des marathoniens courent plus vite pendant la première moitié de l’épreuve. Mais l’écart de rythme entre les deux parties de la course est plus modeste chez les femmes (11,49 %) que chez les hommes (14,07 %), soit 18,33 % d’écart entre les sexes, souligne l’analyse, récemment publiée sur Runrepeat, un site collaboratif consacré aux chaussures de sport et à des articles concoctés à partir de bases de données.
Ces conclusions n’étonnent pas Guillaume Millet, professeur de physiologie de l’exercice à l’université de Saint-Etienne. « Toutes les études ou presque sont concordantes : sur marathon, mais aussi sur des distances plus courtes de 5 ou 10 km, les femmes ont une moindre baisse de vitesse au fil de la course. En marathon, c’est vrai même à haut niveau », précise le scientifique et ultra-trailer.
Depuis 2009, avec son équipe, il a mené plusieurs recherches chez des participants à l’Ultra-Trail du Mont-Blanc (UTMB), mythique course de 171 km avec 10 000 mètres de dénivelé positif, entre la France, la Suisse et l’Italie. Il a ainsi été montré que, après un ultra-trail, la fatigue musculaire est moins marquée chez les femmes. Sont-elles plus résistantes à l’effort que les hommes, ou gèrent-elles mieux leur course ?
Désavantages physiologiques
Selon le physiologiste de l’exercice, qui devrait bientôt publier de nouvelles données sur le sujet, issues d’une étude menée sur l’UTMB en 2019, il existe des différences entre les sexes dans la façon d’appréhender l’épreuve.
« Les hommes ont tendance à être davantage en mode compétition que les femmes. Elles courent davantage dans un état d’esprit de plaisir, du moins sur les petites distances, ce qui pourrait expliquer leur moindre niveau de fatigue à l’arrivée. Cela semble moins vrai pour des épreuves d’ultra », détaille Guillaume Millet.
Malgré ces atouts, les femmes ont deux désavantages physiologiques qui expliquent qu’elles ont globalement du mal à battre les hommes sur les épreuves d’endurance. Leur capacité à transporter l’oxygène dans le sang est plus faible et leur proportion de masse grasse plus élevée, « un handicap en course, un peu moins à vélo, pas du tout en natation », précise Guillaume Millet. Il observe cependant que les femmes peuvent davantage utiliser leurs réserves lipidiques à l’effort que les hommes, ce qui leur permet d’économiser des glucides. « C’est un autre atout sur les courses d’endurance », conclut-il.
Mardi 6 octobre test VMA pour tous
Notre coach Ludo a prévu une séance de VMA mardi prochain à Chauvigny.
Rendez vous au kiosque de Chauvigny pour un départ à 18h45
dimanche 20 septembre
Bignoux La vallée des Meurs.
à 9H15 rdv au parking de la salle des fêtes
Je vous propose de refaire le parcours de Bruno qui fait environ 10 km. possibilité de prolonger ensuite
https://www.calculitineraires.fr/apercuparcours.php?id=1033044
Trail du loup blanc 2020
Les inscriptions sont ouvertes pour ce trail qui se situe à Guéret, pas très loin de chez nous.
Il y a plusieurs distances : 23 et 55km le samedi, 15 et 30 le dimanche)
il y a également des challenges sur ces 2 jours.
Pour avoir plus d’info et vous inscrire, allez sur le site du trail du loup blanc
Faite savoir si vous êtes intéressé-es rapidement (tant qu’il reste des places) que l’on puisse organiser un départ de RunArs (déjà 1 inscrit sur le 55)!
Dimanche 28 Juin
Nous vous proposons pour ce dimanche 28 juin, une sortie boisée aux alentours de Château-Fromage.
Pour des distances de 12 à 16km, rendez-vous au parking de l’école de Bignoux (rue de la forêt) pour un départ à 9h15.
Sinon options possibles de 8 ou 10 km : se garer à Château-Fromage et attendre devant le chemin des chaussées. Le groupe de Bignoux passera à 9h30.
Balade à 80% forestière (monotraces et chemins), un tout petit peu de bitume : forêt de Lirec, forêt de Mortier, vallée de Jappeloup…
A Dimanche !!!