La question du mercredi

Afin d’animer le site des run’ars, je vous propose « la question du mercredi ». Chaque mercredi, je soumets une question à tous les run’ars afin que nous partagions, échangions, nous motivions les uns les autres.
Si vous êtes d’accord, voici la première :
Quels sont vos 3 meilleurs souvenirs de ravitaillements sur des courses (ou en entraînement) et avez-vous quelques anecdotes à partager ? En question bonus : que pourrions-nous faire lors de notre course pour que nos ravitos soient à la hauteur?
A vos claviers.

Merci…
Mélanie

18 réflexions sur « La question du mercredi »

  1. Mon meilleur souvenir de ravito c’est en vtt. Chaque ravito avait un thème avec des déguisements. C’était Tres sympa car les ravitaillements étaient assez importants avec pas mal de bénévoles. Je me souviens de deux d’entres eux. Sapeur pompiers et l’autre infirmières de la dernière guerre.

  2. Bon alors! On ne se connaît pas encore… mais je peux quand même dire que mon meilleur ravitaillement était à la course de Montmorillon. Ma première course (et la seule pour le moment). Je ne savais pas à quoi m’attendre. Les pâtes de fruit, et banane j’ai trouvé ça trop cool!

  3. Mon meilleur souvenir de ravito, c’est celui de la gare de Volvic à environ 10km de l’arrivée du 47 kms du Vulcain il y a 3 ans… c’est pas du tout pour le ravito en lui-même mais sur ce ravito que j’ai réalisé que j’allais y arriver, ce « marathon trail » que je pensais insurmontable…
    Merci à Gégé et Bruno de m’avoir embarqué là dedans !!!

  4. Meilleur ravito question quantité et variété c’est pour moi à n’en pas douter celui de La Galopade des Amoureux de Vouillé le 9 février 2020.
    Ensuite le 2ème serait bien le ravito de l’arrivée du trail du Vulcain, mon 1er teail de 22km, pas parce qu’il y avait de super trucs à manger mais parce que je l’avais fini ( merci Mélanie ) que Didier m’y attendait et que toute une bande de Run’ars était là !
    Les pires ravitos : à La Rochelle quand on arrive très longtemps après les 1èrs au marathon. Il n’y a plus rien et les stands se défont. ..

  5. Salut les petits runars confines ou pas …..
    Moi c.est le ravito du vulcain à la gare de Volvic où j ai découvert mes « TUC !!!!!!!!! » et le fromage :good: :good: :good: :good:
    D’où la motivation cette année d’y retourner r8en que pour ça B-)
    Bonne journée à vous tous

  6. Comme beaucoup le Vulcain fut une vraie révélation , tant pour le trail , mais aussi pour les ravitos..Avoir du Cantal, des dés de jambon fumés, soupe, du pain d’épice et je vous en passe.. c’est un bon début.
    Mais , c’est sur le trail des Hospitaliers, en compagnie de ma co équipière Laurie, car Patrice était déjà bien devant , lorsque nous nous sommes retrouvées devant une tablée de tartine de roquefort, du fromage, du saucisson, pain d’épice, banane (mais ça brûle l’estomac de Mélanie)…et pour finir des CREPEEEEEES , et chaudes s’il vous plait..réalisées devant nous ..Là c’est le must!!
    Que de delicieux souvenirs :good:
    Cécile
    PS : les ravitos de Virginie, aussi, sont excellents

  7. Mes meilleurs ravitos, à part celui des Hospitaliers évoqué par Cécile, sont ceux de nos fins d’entrainements des dimanches matins, sur les parkings de Bonnes, Chauvigny ou du Tison à Poitiers. Bières (bien méritées), jus de fruit, gâteaux maison et autres crêpes (pour ceux qui ont une Geneviève à portée de main), ça manque un peu … 😉

  8. Mes meilleurs ravitos ce sont apres nos longues distances du dimanche matin ou chacun son tour ramène quelque chose. Et pour la petite anecdote cette année cela m a coûté un pneu merci a Stéphane et ses bieres.
    Sinon comme cecile ceux des hospitaliers etaient pas mal, le fromage fait du bien car le sucre a force on en peut plus et ceux du semi marathon de jarnac etaient pas mal non plus hein Patrice :good: :good: :good:
    J espere que tous les petits run ars vont bien, chacun s entraîne dans son coin mais pense aux autres. Hate de tous vous retrouver pour un énorme ravitos :yahoo: :yahoo: :yahoo: :yahoo:

  9. Bon… vous connaissez le marathon du Médoc ? Avec ses ravitaillements célèbres dans le monde entier. Plus de 20 points de ravitaillements !!! Le premier, à 1km du départ !!! Avec des grands crus à chaque fois accompagnés de fromages ou de fruits… Sans parler des huîtres au 38eme km, de l’entrecôte au 40eme km… Bref. Je l’ai fait deux fois… Pour quelqu’un qui boit peu, c’est une épreuve ! :wacko:

  10. En attendant le top 30 des meilleurs ravitos de France de Bruno, je peux vous donner mon top 5 :
    5. les gâteaux fait maison à l’arrivée du trail de Nouaillé ;
    4. le fromage et le saucisson sur les trails de montagne : on a le sentiment que si c’est là, c’est que ça doit être hautement énergétique …
    3. Les crêpes du trail des Hospitaliers : c’était comme dans un rêve, non seulement elles étaient là , elles étaient chaudes et elles étaient bonnes.
    2. Parce que je suis une princesse, j’apprécie chaque année de m’arrêter au ravito de la corrida de Magné (79) car il y a des huitres et du champagne (et du bon)…
    1. Pour l’heure, mon meilleur souvenir, ça reste la Pastourelle car tous les 5 kilomètres, il y avait du fromage et du saucisson (bon) mais surtout des bandas ou un papy dans une voiture avec un accordéon ou un DJ…. ce qui était chouette c’est que le simple fait de se dire qu’ils étaient là, sous la neige pour certains, à 1000 m, de 8h30 à 19h, ça diminuait nos douleurs…Je ne vous parle pas du dernier (au 25eme), ceux qui iront à l’édition 2021 vous raconteront.

    Maintenant 2 anecdotes de grands moments de solitude :
    1. Au moment où je vois les 2 dames faire sauter les crêpes à Millau, j’ai la vessie sur le point d’exploser : il faut que je fasse pipi. Je rentre dans la cuisine en me disant « elles font des crêpes donc elles ont des toilettes ». Je leur dis « bonjour mesdames, vous avez des toilettes ? » L’une d’elle m’a dit : « non, nous on a des crêpes mais là où vous prenez le ravito, il y a des toilettes… » ( à 2 mètres)…
    2. Lors de mon périple sur le 47 du Vulcain, j’ai eu des douleurs à partir du 20eme, je croyais que j’avais bu trop d’eau (en fait, c’était mon sternum). Depuis quelques kilomètres, j’étais juste derrière une nana qui était filmée par la télé, un reportage sur sa course. On arrive au ravito dans le volcan, je me jette sur le fromage (qui a l’air hautement énergétique). Je fais 5 pas et là, un haut-le-coeur….impossible d’avaler le fromage. En levant les yeux, je vois la caméra, je crache dans ma main mais je ne jette pas le fromage car il y avait des spectateurs et que je trouvais ça trop gênant. Le caméraman m’a fait signe que c’était bon, on n’avait rien vu….je me suis sentie ridicule.

    J’aimerais que nos ravitos sur la course soit aussi conviviaux et originaux que nous.

    Mélanie

  11. Bonjour à tous,
    N ayant que peu d expérience en course et n ayant pas fait de longues distances je n ai pas à ce jour de souvenirs en particulier en ravitaillement, par contre je peux vous garantir que le prochain est fortement attendu, et il y a de fortes chances qu il sera plus qu apprécié.
    Bon courage à vous tous et à bientôt
    Arnaud

  12. Comment ne pas évoquer le ravito du 1/4 de marathon du cognac avec un cognac schweppes à 1 km de l’arrivée ou les ptisseries maison le la course des cagouilles de Nouaillé miam miam … :yahoo: :yahoo: mais ceci dit je rejoins patrice , les meilleurs ce sont ceux de nos sorties.

    Bon ravito à tous car faut pas se laisser abattre sortie ou pas :bye:

  13. Chacun sait que ma seul motivation pour sélectionner mes courses est le montant des primes que je peux gagner sur les podiums. :yahoo: Malgré ça, j’ai tout de même une petite anecdote sur les ravitos:
    Au 38ème km j’ai avalé un truc imbuvable, un truc qui brûle l’estomac a mi-chemin entre le vinaigre et le pétrole. C’était sur le marathon du Beaujolais.
    Il y a aussi le marathon des vins de Blaye où chaque ravito en cache un 2ème et un 3ème dans chaque village. C’est très très dur. J’ai fini plus lourd qu’au départ.
    Dans une cave du marathon du cognac, le patron a crû voir en moi un connaisseur et il est aller me chercher un vieux cognac XO pendant que je dégustais saucisses et huitres.
    Sur la 6000D, j’ai le souvenir de la soupe chaude en plein air au glacier de la Chiaupe à 3200m d’altitude sous un orage dantesque. Chaque concurrent à les mains collées à la marmite. Cinq heures plus tard je retrouve à peu près les mêmes « Athlètes » à l’arrivée à Aime (La Plagne) sous les brumisateurs et à l’ombre autour de la tireuse à bière.

  14. Bon, OK, vous avez tous des souvenirs de ravito fabuleux ou détestables, sans oublier des after vantés par Patrice ! Pas facile de dire mieux. Cela dit, j’ai une petite pensée pour les petits ravito perso, genre les pâtes de fruits qui redonnent un peu de jus au bout de quelques kilomètres et qui ont sauvé 2 ou 3 fois des coureuses au bord de l’inanition (j’exagère peut-être un peu, mais ce sont des souvenirs, ça vaut ce que ça vaut !)… Une remarque, enfin, liée au confinement (mais si, le confinement !) : continuez à courir, sinon vous n’allez plus faire que des ravito maison. Et même des apéro-ravito. Et là, bonjour les kilos !

  15. Mes meilleurs ravitos sont ceux que l’on déguste après les avoir gagnés sur les podiums. On y trouve du St Nectaire, du pâté, de la confiture, du miel, du fromage de chèvre, des fruits, du pain d’épices etc..et aussi du vin rouge, du rosé, de la bière et même du pineau. Mais pour ça il faut courir vite, n’est-ce pas Audrey et Virginie ? !!!
    Ceci dit il ne faut pas négliger les ravitos, je me souviens qu’au marathon de Vannes j’avais zappé les ravitos jusqu’au 20 ème km (je n’avais pas d’appétit), résultat j’ai eu du mal à terminer et en prime une mini hypoglycémie à l’arrivée.
    J’ai hâte de vous retrouver pour la prochaine course….peut-être à la course des pères Noël à St Benoit où il n’y a pas de ravito.
    Comme disait Pascal bon week-end confiné à tous.

  16. Jean Paul si je peux me permettre une précision tu as oublié le jambon. N’ayant pas une grande expérience dans la course à pied j’ai plus un souvenir de ravitaillement sur la cyclosportive du tour de France.
    Un ravitaillement était prévu après avoir avoir escaladé le col du tourmalet, dans la mongie.
    Col escaladé sous une pluie battante depuis sainte marie de campan, avec un petit 2 degrés en plein mois de juillet..
    Ravito appréciable bien sûr pour pouvoir se lancer dans la descente vers bareges, frigorifie, dans le brouillard, les freins ne répondant plus, dans le but d’aller finir en haut d’hautacam.
    Comme toujours on ne retient que les bons moments et les mauvais servent à se renforcer !! Joyeuses pâques et protégez vous

  17. Un chaleureux ravito que celui de Arçal sur le parcours du marathon de Vannes avec des pancartes plantées à l’entrée du village : »Vas y Odette, c’est toi la vedette », « Courage Octave, c’est toi le plus brave », « Vas y Gérard, c’est toi le plus beau des renards » etc, etc.
    Et pour réconforter ceux dont le prénom ne faisait pas la une à l’entrée du village, un ravitaillement sauvage organisée par les habitants (pour le coup, eux pas sauvages!); de chaque coté de la rue et allant en se rétrécissant deux haies de gents habillés en cuistots et tapant sur des gamelles et au bout de cette allée humaine dégustation de soupe de potimarron et crêpes…
    Pour les gourmands la performance chrono ne fut pas au rendez-vous, il restait encore quelques Kilo (mètre) qu’il a fallu faire avec quelques Kilo (gramme) en plus.

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